L'arôme de paille dans le vin de Samaria
Découvrez les vins de Samaria révélant l'arôme de paille lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Samaria en Israël. Les caves et vignobles comme le Domaine Tishbi et le Domaine Tura y produisent principalement des vins rouge, blanc et rosé. Les cépages les plus plantés dans la région du Samaria sont les Cabernet-Sauvignon, Merlot et Petit Verdot, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Samaria révèle souvent des types d'arômes d'agrume, poire ou fruits (d'arbre fruitier) et parfois aussi des arômes d'agrumes, fruits tropicaux ou fumée.
En bouche du Samaria est un vin puissant avec beaucoup de tanins présents en bouche. Nous dénombrons actuellement 20 domaines et châteaux dans la région du Samaria, produisant 116 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Samaria s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou gibier.
Les tonneliers ayant besoin de jeunes formés à leurs métiers, la région modernise son outil de formation à Cognac, entre tradition et innovation. Avec une spécificité : la création d’une formation aux grands contenants. C e 9 septembre est posée la première pierre du "Centre de Formation de la Tonnellerie du Futur et de l’Innovation" de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Nouvelle-Aquitaine et de Charente. Portés à hauteur de 6,2 millions d’euros par la ...
Jean-Charles Boisset, dans son vignoble Raymond Vineyards, à Saint Helena, en Californie, en 2024. ALEXANDER RUBIN Les Américains l’appellent le « Walt Disney du vin ». Le qualificatif ne le dérange pas. « Au contraire », répond-il, l’œil malicieux. Pur produit de la Bourgogne, Jean-Charles Boisset a créé un royaume enchanté en Californie. De Napa à Sonoma, les vallées viticoles où le paysage emprunte à la Provence, le luxe et la fantaisie de ses cinq propriétés attirent plus de 200 000 visiteur ...
Fêtant ses 90 ans, le vin AOC est temple vivant dont les bénéficiaires sont autant les gardiens que les critiques. Dernier exemple en date avec le château Lafleur, qui évoque un cadre trop contraignant pour permettre une adaptation au changement climatique. « Construire sa notoriété grâce à l’AOC et ensuite renier ce collectif ne permettra pas d’entraîner la filière dans les adaptations indispensables face aux défis climatiques » analyse dans cette tribune Jérôme Bauer, le président ...