L'arôme de paille dans le vin de Bethlehem
Découvrez les vins de Bethlehem révélant l'arôme de paille lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Bethlehem en Palestine. Les caves et vignobles comme le Domaine Cremisan Wine Estate et le Domaine Cremisan Wine Estate y produisent principalement des vins rouge, blanc et doux. Les cépages les plus plantés dans la région du Bethlehem sont les Cabernet-Sauvignon, Dabouki et Merlot, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Bethlehem révèle souvent des types d'arômes d'évolution (vieillissement), sous-bois ou fermenté (levuré) et parfois aussi des arômes de végétal, boisé ou fruits (d'arbre fruitier).
Nous dénombrons actuellement 3 domaines et châteaux dans la région du Bethlehem, produisant 19 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Bethlehem s'accordent généralement assez bien avec des plats de porc, poisson gras ou plat végétarien.
Les tonneliers ayant besoin de jeunes formés à leurs métiers, la région modernise son outil de formation à Cognac, entre tradition et innovation. Avec une spécificité : la création d’une formation aux grands contenants. C e 9 septembre est posée la première pierre du "Centre de Formation de la Tonnellerie du Futur et de l’Innovation" de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Nouvelle-Aquitaine et de Charente. Portés à hauteur de 6,2 millions d’euros par la ...
Jean-Charles Boisset, dans son vignoble Raymond Vineyards, à Saint Helena, en Californie, en 2024. ALEXANDER RUBIN Les Américains l’appellent le « Walt Disney du vin ». Le qualificatif ne le dérange pas. « Au contraire », répond-il, l’œil malicieux. Pur produit de la Bourgogne, Jean-Charles Boisset a créé un royaume enchanté en Californie. De Napa à Sonoma, les vallées viticoles où le paysage emprunte à la Provence, le luxe et la fantaisie de ses cinq propriétés attirent plus de 200 000 visiteur ...
Fêtant ses 90 ans, le vin AOC est temple vivant dont les bénéficiaires sont autant les gardiens que les critiques. Dernier exemple en date avec le château Lafleur, qui évoque un cadre trop contraignant pour permettre une adaptation au changement climatique. « Construire sa notoriété grâce à l’AOC et ensuite renier ce collectif ne permettra pas d’entraîner la filière dans les adaptations indispensables face aux défis climatiques » analyse dans cette tribune Jérôme Bauer, le président ...