L'arôme de poivron vert dans le vin de Xinjiang
Découvrez les vins de Xinjiang révélant l'arôme de poivron vert lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Xinjiang en Chine. Les caves et vignobles comme le Domaine Tiansai Vineyards (新疆天塞酒庄) et le Domaine Puchang y produisent principalement des vins rouge et blanc. Les cépages les plus plantés dans la région du Xinjiang sont les Cabernet-Sauvignon, Marselan et Chardonnay, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Xinjiang révèle souvent des types d'arômes de boisé, évolution (vieillissement) ou sous-bois et parfois aussi des arômes de fruits (d'arbre fruitier), épices ou agrumes.
Nous dénombrons actuellement 5 domaines et châteaux dans la région du Xinjiang, produisant 26 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Xinjiang s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou nourriture épicée.
Un arrachage définitif de 3500 hectares Sommaire Un arrachage définitif de 3500 hectares Pékin avait imposé l’an dernier d’importantes restrictions aux importateurs de brandys européens, principalement le cognac, mesure largement perçue comme une réponse à l’enquête antidumping européenne visant les véhicules électriques chinois. Un arrachage définitif de 3500 hectares En juillet, les prin ...
Loin d’être une machine à broyer les prix et les marges, la grande distribution s’avère un circuit rémunérateur et fidèle pour les vignerons qui travaillent avec elle. H ugues Laborde l’avoue sans détours. « J’avais des a priori sur la grande distribution. Je redoutais que mes vins soient dévalorisés. » Mais, forcé par la conjoncture, il y est allé. À la tête Vignobles Laborde, une centaine d’hectares à Dardenac à Gironde, ce trentenaire ...
« Tant qu’il n’y a pas de reprise, on a bassin qui est certainement un peu surcalibré » annonce l’interprofession de l’eau-de-vie charentaise qui demande des aides à l’arrachage temporaire et une bonification pour l’arrachage (plutôt entre 10 et 15 000 €/ha que 4 000 €/ha), ainsi qu’un possible dispositif de distillation de crise. Sachant que « si on n’est pas du tout aidé par l’État, je ne sais pas comment on va pouvoir continuer à respecter ...