L'arôme de paille dans le vin de Tokajská
Découvrez les vins de Tokajská révélant l'arôme de paille lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Tokajská en Slovaquie. Les caves et vignobles comme le Domaine Ostrožovič et le Domaine Tokaj & Co y produisent principalement des vins blanc, doux et effervescent. Les cépages les plus plantés dans la région du Tokajská sont les Furmint et Harslevelu, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Tokajská révèle souvent des types d'arômes de fruits (d'arbre fruitier), fruits tropicaux ou sous-bois et parfois aussi des arômes d'agrumes, évolution (vieillissement) ou boisé.
Nous dénombrons actuellement 4 domaines et châteaux dans la région du Tokajská, produisant 61 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Tokajská s'accordent généralement assez bien avec des plats de nourriture épicée, dessert sucré ou veau.
Les tonneliers ayant besoin de jeunes formés à leurs métiers, la région modernise son outil de formation à Cognac, entre tradition et innovation. Avec une spécificité : la création d’une formation aux grands contenants. C e 9 septembre est posée la première pierre du "Centre de Formation de la Tonnellerie du Futur et de l’Innovation" de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Nouvelle-Aquitaine et de Charente. Portés à hauteur de 6,2 millions d’euros par la ...
Jean-Charles Boisset, dans son vignoble Raymond Vineyards, à Saint Helena, en Californie, en 2024. ALEXANDER RUBIN Les Américains l’appellent le « Walt Disney du vin ». Le qualificatif ne le dérange pas. « Au contraire », répond-il, l’œil malicieux. Pur produit de la Bourgogne, Jean-Charles Boisset a créé un royaume enchanté en Californie. De Napa à Sonoma, les vallées viticoles où le paysage emprunte à la Provence, le luxe et la fantaisie de ses cinq propriétés attirent plus de 200 000 visiteur ...
Fêtant ses 90 ans, le vin AOC est temple vivant dont les bénéficiaires sont autant les gardiens que les critiques. Dernier exemple en date avec le château Lafleur, qui évoque un cadre trop contraignant pour permettre une adaptation au changement climatique. « Construire sa notoriété grâce à l’AOC et ensuite renier ce collectif ne permettra pas d’entraîner la filière dans les adaptations indispensables face aux défis climatiques » analyse dans cette tribune Jérôme Bauer, le président ...