L'arôme de pop-corn beurré dans le vin de Sao Paulo
Découvrez les vins de Sao Paulo révélant l'arôme de pop-corn beurré lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
Le Brésil est le plus grand pays d'Amérique du Sud et le cinquième plus grand pays du monde. Il possède une industrie vinicole importante, mais il est probablement mieux connu sur les marchés mondiaux pour ses spiritueux, et en particulier la Cachaça. Avec environ 83 000 hectares de vignoble, le Brésil se classe juste derrière ses proches voisins, l'Argentine et le Chili, en termes de superficie cultivée en Vigne. Seule une petite proportion (environ 10 %) de ces hectares est plantée de vignes Vitis vinifera, mais cette grande superficie ne se traduit pas par de gros volumes de vin de qualité.
Des efforts concertés sont en cours pour améliorer ce ratio. Bien qu'elle ne soit pas encore reconnue à l'échelle internationale, la qualité des vins brésiliens augmente d'année en année. Les vins les plus connus du Brésil sont sans doute ses vins blancs mousseux. Il existe quelques vins de méthode champenoise élaborés à partir de Pinot Noir et de Chardonnay.
Beaucoup sont fabriqués dans un style similaire au spumante Italien. Bien qu'il s'étende sur 39 degrés de latitude (de 5°N à 34°S), ce vaste pays se trouve en grande partie en dehors de la "ceinture viticole" (la bande de latitudes dans laquelle une viticulture efficace est traditionnellement considérée comme possible). La ceinture viticole de l'hémisphère sud encercle le globe entre 30°S et 45°S, ce qui laisse très peu de place au Brésil pour développer son vignoble. Ainsi, la grande majorité du vin brésilien provient des régions les plus méridionales du Brésil, la Campanha et surtout la Serra Gaucha.
Si la Commission européenne rechigne à soutenir financièrement l’arrachage définitif demandé par le vignoble français, c’est qu’elle n’a pas bien saisi l’ampleur des bouleversements sociologiques et difficultés économiques qui secouent le vignoble alerte Gérard Bancillon, le président de la Confédération des vins à Indication Géographique Protégée de France (Vin IGP) C e mois de juillet, vous alertiez sur le manque de réaction politique aux difficultés du vignoble&n ...
Ça ne sent pas bon pour le financement européen de l’arrachage définitif demandé par la France mais rejeté par d’autres États membres : le commissaire à l’Agriculture reconnait l’urgence imposée par la crise viticole, mais met l’accent sur la conquête de marchés, sans annoncer d’évolutions d’accès à date. F aisant « face à des défis sans précédents », « le moment est crucial pour l’avenir de la filière viticole ...
Viticulture comme négoce et banque s’accordent sur la « nécessité » d’arracher les vignes excédentaires en France face à la déconsommation de fond, quitte à replanter quand l’offre sera équilibrée et modernisée, que des marchés seront relancés… Le point depuis l’épicentre de la crise viticole : Bordeaux, où même les grands crus ne sont pas épargnés. D ans la filière vin, « il ne faut pas être dans le déni, la crise est au centre, elle est profonde et structurel ...