
Cave du Rouge-GorgeChasselas
Ce vin s'accorde généralement bien avec
Le Chasselas du Cave du Rouge-Gorge est dans le top 0 des vins de Genève.
Détails et informations techniques sur le Chasselas du Cave du Rouge-Gorge
Découvrez le cépage: Raffiat de Moncade
Le raffiat de Moncade est un cépage blanc pyrénéen. Descendant du gouais blanc, il ne doit pas être confondu avec l’arruffiac. Ce cépage dispose de grappes tronconiques, rameuses et ailées. Ses baies sont petites mais elles sont juteuses.Le raffiat de Moncade a été utilisé par l’ampélographe Marcel Durquety pour obtenir de nouvelles variétés que sont le perdea, l’arroba et l’arriloba. Encore appelé rousselet, le raffiat de Moncade est associé à un débourrement précoce dans l'année et à une maturité de deuxième époque tardive. Son port est semi-étalé. Ce cépage est assez productif et résiste assez bien à la pourriture grise et à l’oïdium.Le Raffiat de Moncade entre dans la vinification de certains vins de Tursan et de Béarn. Il permet de produire un vin neutre, fin, bien alcoolique et chaleureux. Il est souvent associé au petit manseng et au gros manseng, lesquels procurent une acidité importante dans les cuvées.
Informations sur le Cave du Rouge-Gorge
Le Cave du Rouge-Gorge fait parti des plus grands domaines au monde. Il propose 7 vins à la vente dans la région de Genève à venir découvrir sur place ou à acheter en ligne.
La région viticole de Genève
Genève, à l'extrémité ouest du lac Léman, est la deuxième plus grande ville de Suisse et le troisième plus grand canton producteur de vin du pays après le Valais et Vaud. Bien qu'elle ne soit pas associée au vin, la ville et ses environs abritent de nombreux vignobles et établissements vinicoles, certains à quelques kilomètres seulement du centre. Avec 1 400 hectares, Genève représente 10 % de la surface viticole du pays. Le gamay est le Cépage prédominant ici, le Chasselas (souvent appelé "Fendant") et le Pinot noir occupant respectivement la deuxième et la troisième place.
Le mot du vin: Chaptalisation
Ajout de sucre au moment de la fermentation du moût, pratique ancienne, mais théorisée par Jean-Antoine Chaptal à l'aube du XIXe siècle. Le sucre se transforme en alcool et permet de rehausser le degré naturel du vin en année faible ou froide, ou - c'est plus contestable - quand le vigneron a une récolte trop importante pour obtenir une bonne maturité.