L'arôme de viande de salaison dans le vin de Кубань
Découvrez les vins de Кубань révélant l'arôme de viande de salaison lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Кубань en Russie. Les caves et vignobles comme le Domaine Fanagoria (Фанагория) et le Domaine Fanagoria (Фанагория) y produisent principalement des vins rouge, blanc et effervescent. Les cépages les plus plantés dans la région du Кубань sont les Cabernet-Sauvignon, Chardonnay et Merlot, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Кубань révèle souvent des types d'arômes de chêne, confiture ou poivron et parfois aussi des arômes de fruits rouges, mûre ou myrtille.
Nous dénombrons actuellement 55 domaines et châteaux dans la région du Кубань, produisant 203 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Кубань s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou nourriture épicée.
Qu’elles viennent de France ou de Trump, le vin ne veut pas de taxes plaide Samuel Montgermont, le président de Vin & Société alors que des députes viennent d’adopter des mesures ciblant la fiscalité des boissons alcoolisées sous la houlette d’Addictions France, qui prône à tout prix une réduction quantitative des consommations. L e verre à moitié plein peut faire déborder la coupe déjà pleine… Examinant ce mercredi 29 novembre le projet de loi de financement de la s ...
Olivier Goujon, directeur du Bureau interprofessionnel de l’armagnac (BIA), ne cache pas son ambition : faire rayonner l’armagnac, renforcer son ancrage local et séduire de nouveaux publics. À quelques heures de la toute première édition d’Armagnac en scène, qui se tiendra à Mont-de-Marsan les 17et 18 octobre, il explique comment cet événement – porté par tout un territoire ( ...
« Tant qu’il n’y a pas de reprise, on a bassin qui est certainement un peu surcalibré » annonce l’interprofession de l’eau-de-vie charentaise qui demande des aides à l’arrachage temporaire et une bonification pour l’arrachage (plutôt entre 10 et 15 000 €/ha que 4 000 €/ha), ainsi qu’un possible dispositif de distillation de crise. Sachant que « si on n’est pas du tout aidé par l’État, je ne sais pas comment on va pouvoir continuer à respecter ...