La région viticole du Saint-Nicolas-de-Bourgueil se situe dans la région du Touraine dans la Vallée de la Loire en France. Les caves et vignobles comme le Domaine Yannick Amirault et le Domaine Sebastien David y produisent principalement des vins rouge, rosé et blanc. Les cépages les plus plantés dans la région du Saint-Nicolas-de-Bourgueil sont les Cabernet franc, Pinot noir et Cabernet-Sauvignon, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Saint-Nicolas-de-Bourgueil révèle souvent des types d'arômes de cerise, pierre ou herbe et parfois aussi des arômes de jeu, fromage ou graphite.
En bouche du Saint-Nicolas-de-Bourgueil est un vin avec une belle fraicheur. Nous dénombrons actuellement 175 domaines et châteaux dans la région du Saint-Nicolas-de-Bourgueil, produisant 385 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Saint-Nicolas-de-Bourgueil s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, veau ou gibier.
Le long de la Loire, du pays nantais aux coteaux-du-vendomois, la 19e édition de cet événement très attendu du public va avoir lieu les 3 et 4 septembre prochains. Plus de 18 parcours sont programmés, à vos inscriptions ! Cette rencontre se place cette année sous le signe de l’héritage et de la transmission. Organisée par l’interprofessionnelle des vins du Val de Loire et les vignerons partenaires, voici une belle opportunité de s’immerger dans le terroir local et d’en déguster le ...
Le Val de Loire, qui s’étend le long du fleuve, de Sully-sur-Loire à Chalonnes-sur-Loire, en passant par Blois, Amboise et Saumur, est un parcours incontournable pour visiter les châteaux de la Loire, plonger dans l’histoire des rois de France et profiter de jardins fantastiques comme ceux du festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire. C’est aussi un parcours privilégié pour découvrir une gastronomie qui fait la part belle aux spécialités locales et traditionnelles. Rillettes de To ...
Pour les vignerons de la vallée de la Loire, les conditions climatiques du week-end de Pentecôte ont été décisives sur la vigne en fleur. Certains ont subi la grêle qui a détruit une partie de la récolte en devenir, tandis que d’autres ont accueilli avec plaisir la pluie qui faisait défaut depuis des mois. « Il faut avoir les nerfs solides. J’ai failli craquer ce week-end » déclare Benoit Gauthier, vigneron à Vouvray, qui n’a pas oublié le gel du début d’année. « J’avoue que j’ai ...
