L'arôme de fer dans le vin de Central
Découvrez les vins de Central révélant l'arôme de fer lors de l'analyse olphactive (au nez) et lors de l'analyse gustative (en bouche).
La région viticole du Central en Uruguay. Les caves et vignobles comme le Domaine El Capricho et le Domaine El Capricho y produisent principalement des vins rouge, blanc et rosé. Les cépages les plus plantés dans la région du Central sont les Tannat, Cabernet-Sauvignon et Tempranillo, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Central révèle souvent des types d'arômes de prune, cuir ou évolution (vieillissement) et parfois aussi des arômes de sous-bois, boisé ou fruits noirs.
En bouche du Central est un vin puissant avec un bel équilibre entre l'acidité et les tanins. Nous dénombrons actuellement 2 domaines et châteaux dans la région du Central, produisant 19 vins différents en agriculture conventionnelle, bio et biodynamique. Les vins du Central s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, agneau ou porc.
Le docteur Michel de Lorgeril se décrit comme « l’un des seuls survivants encore en mesure de témoigner du French Paradox » qui, rappelons-le, a fait exploser la consommation de vin, notamment français, aux Etats-Unis dans les années 1990. Au moment où l’ONU se penche sur une résolution qui pourrait dénormaliser la consommation d’alcool dans le monde, il publie un nouveau livre qui cherche à redonner « toute sa place à la science dans un débat passionnel ». Alors que « face aux ...
Confortable et souple, le nouveau tracteur haut de gamme de Deutz-Fahr séduit l’un de ses premiers utilisateurs et notre journaliste. Reste à s’habituer à sa cabine. S ous le soleil charentais, juste avant l’orage, nous retrouvons Philippe Martineau dans une de ses parcelles d’ugni blanc. Ce viticulteur gère deux domaines – le Chausset, à Thors, et la SCEA Brisson, à Matha – pour un total de 230 hectares. Autant dire qu’il sait ce qu’il attend d&rs ...
Ayant partagé sur LinkedIn sa colère face au refus de paiement d’une commande de vins de Bourgogne par un restaurant étoilé parisien, la vigneronne Aurélie Berthod a mobilisé une communauté de professionnels poussant le restaurateur à régler sa commande en souffrance depuis 18 mois. C e que des mois de consciencieuses relances de facture n’ont pas su faire avancer, deux jours de mobilisation populaire sur les réseaux sociaux ont suffi pour régler la question. « Je ne pensa ...