Domaine TomićPlavac
Vin rouge
Ce vin s'accorde généralement bien avec
Arômes du vin et analyse olphactive
Au nez le Plavac du Domaine Tomić de la région de Dalmatian Coast révèle souvent des types d'arômes d'évolution (vieillissement), minéral & naturel ou fermenté (levuré) et parfois aussi des arômes de végétal, boisé ou épices.
Détails et informations techniques sur le Plavac du Domaine Tomić
Découvrez le cépage: Plavac mali
Croate la Dalmatie plus précisément. On peut le rencontrer également en Grèce (Macédoine), au Monténégro, en Italie, en Bulgarie, en Roumanie, ... peu connu en France. D'après des analyses génétiques réalisées par la Californie University de Davis (Etats unis), il est issu du croisement intraspécifique entre le zinfandel (appelé crljenak kastelanski ou pribidag en Croatie) et le dobricic autre cépage croate aujourd'hui quelque peu en voie de disparition. - Synonymie : pagadebit veliki, sarak, zelenak (pour toute la synonymie des cépages, cliquez ici !).
Derniers millésimes de ce vin
Les meilleurs millésimes du Plavac du Domaine Tomić sont 2008, 2017, 2016, 2013 et 2012.
Informations sur le Domaine Tomić
Le Domaine Tomić fait parti des plus grands domaines au monde. Il propose 12 vins à la vente dans la région de Dalmatian Coast à venir découvrir sur place ou à acheter en ligne.
La région viticole de Dalmatian Coast
La région viticole du Dalmatian Coast en Croatie. Les caves et vignobles comme le Domaine Bibich et le Domaine Boškinac y produisent principalement des vins rouge, blanc et rosé. Les cépages les plus plantés dans la région du Dalmatian Coast sont les Plavac mali, Merlot et Cabernet-Sauvignon, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Dalmatian Coast révèle souvent des types d'arômes d'ananas, pruneaux ou fruits noirs et parfois aussi des arômes de fruits rouges, cèdre ou cola.
Le mot du vin: Rendement
Quantité de raisins récoltée à l'hectare. En AOC, le rendement moyen est limité sur proposition du syndicat d'appellation, validé par l'Inao. L'utilisation d'un matériel végétal performant (les clones notamment) et une meilleure maîtrise des maladies de la vigne ont fait grimper les rendements. Ce n'est pas sans conséquence sur la qualité des vins (dilution) et sur l'état du marché (trop de vin). Il ne faut pas schématiser à l'excès : des rendements faibles ne sont pas synonymes de qualité, et c'est souvent en année de récolte généreuse que l'on trouve les plus grands millésimes (1982 et 1986 à Bordeaux, 1996 en Champagne, 1990 et 2005 en Bourgogne...).
