Vins issues du cépage Nosiola de Trento
Découvrez les meilleurs vins élaborés avec le cépage Nosiola en mono-cépage ou en assemblage de Trento
Cépage autochtone assez ancien cultivé depuis fort longtemps dans le nord-est de l'Italie, région du Trentin-Haut Adige en particulier, même si aujourd'hui il est quelque peu délaissé. Il est parent avec la rèze et le groppello bianco, à ne pas toutefois confondre avec le veneto durella. On peut rencontrer la Nosiola en Espagne, en Australie, ... en France elle n'est quasiment pas connue.
La région viticole du Trento se situe dans la région au Trentin-Haut-Adige en Italie. Les caves et vignobles comme le Domaine Ferrari et le Domaine Ferrari y produisent principalement des vins effervescent, rouge et blanc. Les cépages les plus plantés dans la région du Trento sont les Chardonnay, Pinot noir et Gewurztraminer, ils sont alors utilisés dans les vins en assemblages ou en mono-cépage. Au nez du Trento révèle souvent des types d'arômes de crème, pâtisserie ou chèvrefeuille et parfois aussi des arômes de champignon, chocolat ou cire d'abeille.
Enfin un millésime clément pour la vigne dans les Pyrénées-Orientales. Même si la canicule du début du mois d’août a généré quelques pertes, à mi-parcours des vendanges, ceux qui ont réussi à contenir les maladies, l’herbe, et pu irriguer quand il le fallait ont toutes les chances de vinifier en quantité honorable des vins de qualité. A près avoir l’an passé rentré la plus petite récolte qu’ils n’aient jamais connue, avec un rendement moyen de 18,5 hectolitres par h ...
Un voyage gustatif : l’accord parfait entre le vin et les pâtes au pesto L’alliance entre les mets et les vins est un art subtil qui repose sur l’équilibre des saveurs et des textures. Les pâtes au pesto, avec leur riche composition de basilic, d’ail, de pignons et de parmesan, séduit par sa complexité. Mais quel vin saura exalter et compléter cette délicieuse création ? Les accords vins idéaux pour les pâtes au pesto L’accord d’un vin avec les pâtes au pesto ...
L’arroseur a osé. Ayant choisi de se mettre en marge de l’appellation Pomerol après avoir irrigué précocement ses vignes en juin, le château Lafleur a déclenché un débat sur l’adaptation viticole au changement climatique qui doit dépasser le buzz pour pousser les cahiers des charges à évoluer selon ses propriétaires, prêts à revenir. Imposé par une irrigation sans autorisation pour les gardiens du temple AOC, ce départ tient du coup de comm’ pour ses détracteurs, qui reco ...