La Serra Gaúcha est une région viticole Brésilienne située dans l'État méridional du Rio Grande do Sul, où le Brésil rencontre l'Uruguay. Son nom est approprié : le paysage y est caractérisé par des chaînes de montagnes basses (serras) et peuplé de gaúchos, les cow-boys de la pampa brésilienne. Les petites propriétés foncières de quelques hectares seulement sont la norme dans la Serra Gaucha, ce qui rend la Vinification coopérative presque une nécessité. Le coût d'achat et d'entretien du matériel de vinification est considérable, c'est pourquoi les vignerons locaux mettent leurs ressources en commun et investissent dans des caves communes et coopératives.
C'est grâce à des efforts de collaboration similaires qu'un groupe de viticulteurs de Serra Gaúcha a réussi à faire campagne pour la création de la DO Vale do Vinhedos, la première appellation viticole du Brésil. Avec le tristement célèbre Bento Goncalves au cœur, Serra Gaúcha est considérée comme la région capitale du vin au Brésil et est responsable de 80 % de la production de vin du pays. Le Terroir de Serra Gaúcha est caractérisé par l'altitude et la latitude de la région, tandis que la culture locale est influencée de manière tangible par les populations immigrées d'Allemagne et d'Italie. Porto Alegre est la capitale de l'État et est, comme son nom l'indique, une ville portuaire.
Elle se trouve à l'extrémité orientale des vignobles de la Serra Gaúcha, et de là, le territoire s'élève du niveau de la mer à plus de 760 mètres à Caixas do Sul, deuxième ville de l'État et capitale locale du vin. L'altitude et la topographie montagneuse sont essentielles à l'adaptation de la région à la viticulture, car elles permettent de rafraîchir les températures et d'allonger la période de végétation tout en favorisant la rétention des acides. Le type de sol de la région est également attribué à l'altitude, la viticulture se trouvant principalement plantée dans des poches de basalte volcanique Riche en nutriments. La cuisine et l'architecture locales présentent des influences italiennes significatives, et c'est en grande partie à l'Italie que l'on doit la naissance d'une viticulture efficace ici, à la fin du XIXe siècle.
Le cabernet franc est l’un des plus vieux cépages rouge du bordelais. Le Libournais est son terroir ou il se développera le mieux. Les terroirs de Saint-Emilion et Fronsac lui permettent notamment de venir à maturité en développant sa plus belle gamme d'arômes. Il est d'ailleurs majoritaire dans de nombreux assemblage. Le très réputé château Cheval Blanc l'utilise par exemple à 60%.Les vins produits avec du cabernet franc sont de coloration moyenne avec des tannins fins, des arômes subtils de petits fruits rouges et d’épices. En l'assemblant avec le merlot et le cabernet-sauvignon, il apporte au vin complexité et bouquet d’arômes. Il permet de produire des vins fruités que l’on peut boire assez rapidement mais dont les grands millésimes peuvent être de longue garde.C’est un cépage plus précoce que le cabernet-sauvignon ce qui fait qu'il est aussi bien planté plus au nord, jusqu’en Vallée de la vallée de la Loire. En Anjou, on le vinifie aussi en vins rosé moelleux. Le cabernet franc est aujourd'hui utilisé dans une vingtaine de pays d’Europe et à travers le.
Les vins de la région de Serra Gaúcha s'accordent généralement assez bien avec des plats de boeuf, gibier ou porc comme par exemple des recettes de romazava (madagascar), magret de canard aux pommes ou choucroute alsacienne.
De l’osier et de la valériane pour lutter contre le gel, de l’achillée et du fenouil pour favoriser la floraison, de la prêle pour venir à bout du mildiou ou encore du lierre, du thym et du cyprès pour mettre en dormance la vigne. Au château Monestier-Latour en Dordogne, qui produit en moyenne 90 000 bouteilles de vin chaque année, on soigne les ceps avec des plantes, des tisanes… De l’osier et de la valériane pour lutter contre le gel, de l’achillée et du fenouil pour favoriser la florais ...
Non, du bordeaux ce n’est pas que du rouge, s’il était encore nécessaire de le préciser. Peut-être même que ses blancs vont contribuer à redorer son blason. Ils ne représentent que 10 % des surfaces viticoles et de la production du Bordelais mais sont… Non, du bordeaux ce n’est pas que du rouge, s’il était encore nécessaire de le préciser. Peut-être même que ses blancs vont contribuer à redorer son blason. Ils ne représentent que 10 % des surfaces viticoles et de la production du Bordelais ...
Ludiques et pédagogiques, les ateliers auront lieu au sein du chai expérimental du Vinopôle et du vignoble du Château Dillon, à Blanquefort. Au programme, la découverte de la production d’un plant de vigne, l’exploration des nouvelles solutions pour protéger la vigne et l’étude d’une fosse pédologique pour mieux connaître les sols et les terroirs. Mais aussi, des dégustations des vins de demain, et une présentation découverte du métier de tonnelier. A lire sur SudOuest.fr ...
